D'abord, il y a la lumière. Celle que l’on connaît et qu’on ne reconnaît pas. Celle qui sature la silhouette du fort de son bleu intense, décalé, presque méditerranéen, face à l’ocre scintillant du sable. Celle qui donne au môle des Noires des airs de serpent joyeux s’enfonçant dans la mer...
First and foremost, there is the light. The light we recognise, the light we don’t. The light that saturates the outline of the fort with an almost Mediterranean blue, intense and almost incongruous, contrasting with the gleaming ochre of the sand. The light that transforms the “môle des Noires” seawall into a joyful serpent sinking down into the sea...